mardi 12 novembre 2013

L'absence est déjà une présence quand le néant n'est plus.

Pourquoi, mais pourquoi donc après tant de silence, continuer à se taire?

A ces questions hautement philosophiques, il est important en ces temps de recherche éperdue d'efficience et d'efficacité de ne pas répondre.

Pourquoi en effet quand l'enfant paraît, Léonard de Vinci alors qu'on ne lui a rien demandé.

En tout cas, we're back. Accrochez-vous, chers non-lecteurs (car je ne suis pas totalement dupe du buzz continuel que crée ce blog et du nombre sans cesse constant de fan qu'il génère : un, moi. et encore... pas tous les jours), chers non-lecteurs disais-je, malgré ces nombreux articles déjà datés mais qui permettent à tout un chacun de se replonger quelques mois en arrière pour un flash-back permettant de repenser aux choix de sa vie et à notre enfance maintenant devenue si belle à l'aune de la vieillesse qui s'annonce, malgré ces articles laissant à penser que tel un commun macchabée, un aï endormi ou un Jean-Marc Airault nous ne bougeons plus depuis longtemps et bien c'est faux !
Car on bosse sur une nouvelle pièce qui vous laissera pantois.

Bon, on reconnait, on a mis le temps.

Mais ca y est : la machine est lancée et nous, on est des guedins; quand on est lancés..ben, on est lancés quoi.

Allez promis ; a partir d'aujourd'hui, je vous tiens au courant.
Revenez régulièrement sur ce blog ( enfin plus régulièrement qu'avant, vu qu'avant vous n'y veniez jamais. Non, non, ne niez pas, y'a pas de honte mais faut pas mentir : faute avouée est à moué car tout ce qui est à voué est à moué, bien sur) pour avoir pleins d'infos toutes fraiches comme une rose de 20 ans.

(C'est important de finir sur une note poétique, non?)

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