Enfin l'épectase !

Avertissement concernant ce billet :

" Peut-on appeler "écrire" n'importe quelle tentative de représentation d'une ébauche de pensée par le biais de symboles graphiques incohérents couchés dans le désordre au mépris total de la grammaire, de la syntaxe, de l'orthographe et du souvenir de mon aïeule Germaine Philippin, institutrice de l'époque missionnaire, qu'une cédille oubliée décourageait aux larmes."

Public chéri, mon amour, tu auras reconnu le style d'un PD bien connu, ce qui me permet, cet avertissement fait, de pouvoir lâcher ma verve sans retenue (le V n'est pas une faute de frappe, mon cher Eric.)

Pour sans doute les dernières (ou avant-dernières) représentations de JaD, Unc' Berny, alias votre serviteur, a enfin atteint un état cher à Isabelle Adjani.

c'est à dire proche de l'Ohio, précision utile pour les moins de vingt ans qui de toute façon ne lisent pas ce blog et préfèrent se droguer en écoutant des musiques R'n B tout en mettant des jeans taille basse qui permettent de grand moments de rêve et de poésie lorsqu'ils se penchent et nous dévoilent le haut de leur raie des fesses, pôvres béotiens incultes qu'ils sont.
( Ce petit moment de haine anti-jeunes vous était offert par le magazine "Notre Temps", les prothèses auditives Sourdix et les Sous-Vêtements confortables absorbants et totalement Invisibles Confiance.)

Car oui, et ne pleure pas Jeannette ou Robert, car je ne sais pas ton prénom ami lecteur, (permets-moi de t'appeler ami quand bien même ton statut vis à vis de moi ne dépasserait pas celui de l'accointance mais tu sais bien qu'une convivialité de bon aloi est toujours recommandée dans les blogues) nous sommes bien dans la dernière ligne droite (car la ligne est droite mais la pente est forte, JPR copyright) des dernières représentations.

Alors sois à l'affut : peut être la der des der aura peut être lieu début juin à Sallanches pour le festival Oh! les beaux Jours. N'hésite pas à revenir sur ce blog pour le savoir ou à me courriéliser à info@ciepst.biz pour avoir des nouvelles ou me dire comment s'appellent les habitants de Sallanches car j'hésitais avec les sallanchais ou les sallanchois, (ce dernier choix pouvant laisser penser à des poissons de pizzas d'une propreté douteuse comme cette blague d'ailleurs).

Mais je prends les chemins de traverse (hommage à 36 4L, comprenne qui peut, hommage avec un H non aspiré, car aspirer le H est réprimandé dans un certain nombre de pays) et contourne le principal objet de cet article pour mieux y revenir :

Car comme l'a dit, le philosophe et essayiste français, Thierry Roland un 12 juillet 1998 : "Maintenant, je peux mourir!"

J'ai, dans une unité de temps et de lieu, chère aux théâtreux classiques, connu une lectrice de ce blog

(Mon Dieu! Qu'elle était belle! et intelligente! et avec de l'humour!
quasi la femme parfaite si ce n'avait été ce bellâtre, un peu musclé et d'apparence cultivé malheureusement, avec à vue de nez un QI d'environ 98-99 soit à peu près trois fois le mien, qui l'accompagnait.
Pourquoi, Mon Dieu! Mais pourquoi donc les femmes choisissent-elles toujours des hommes plus beaux, plus riches, et plus intelligents que moi, plutôt que moi ?
Ne serait-ce pas cela le mystère insondable de ce sexe si étrange??)

, rencontré des gens plus que sympa, toute l'équipe de la Malle Au Grenier (RV ici : http://www.malleaugrenier.com/accueil/ ),
découvert un lieu magique,
mangé des pâtes carbo et des gauffres dont mes papilles se souviennent encore,
échangé doctement sur les shadoks de Kandinski Wassily ou plutôt de Joan Miro (Fred; si tu lis ce blog,envoie moi un courriel pour affiner ma culture picturale. Merci) les jalottes d'Eric et nos amis de la SACD ainsi que sur la licence poétique permettant d'écrire Jacques à dit.

Bon, c'est trop d'émotions, je vais me coucher.


.....to follow..